Nourrir ses racines pour mieux diriger
- Chrystelle Berger

- 27 nov.
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 5 déc.

Un management durable se construit comme une forêt : lentement, solidement, en respectant les cycles.
Un manager n’est pas une machine à décisions. C’est un arbre au cœur de la forêt : ses racines plongent dans la terre de ses besoins vitaux, ses branches s’élèvent vers les projets et les stratégies.
La performance commence par l’invisible
On parle souvent de résultats, de KPI, de croissance. Mais avant la performance, il y a la sève. Sans énergie vitale, pas de stratégie durable.
L’alimentation comme terre fertile
Le sommeil comme nuit régénératrice
La respiration et la relaxation comme vents qui apaisent
Ces fondations invisibles sont les vrais moteurs de la performance. Sans elles, les feuilles de la formation managériale se dessèchent trop vite.
Quand le temps devient un ennemi
Agendas saturés, crises à répétition, le temps se dérègle. Le manager vit un hiver sans fin, perd son printemps intérieur : ce moment de floraison où l’on prend du recul, où l’on imagine une nouvelle feuille de route.
La naturopathie comme levier stratégique
La naturopathie nous rappelle que l’équilibre est un écosystème. Un manager qui néglige son corps et son esprit :
se coupe de la lumière des échanges,
enferme ses relations dans des schémas rigides,
applique des méthodes efficaces mais éphémères, comme des fleurs coupées qui fanent trop vite.
Vers un management durable et performant
Réapprendre à cultiver son jardin intérieur, c’est investir dans la performance collective.
Car un dirigeant aligné devient une clairière ouverte :
ses équipes y trouvent lumière, respiration et inspiration,
ses décisions s’ancrent dans la solidité des racines,
sa vision s’élève avec la force des cycles naturels.
Le vrai pouvoir managérial n’est pas d’aller plus vite, mais de durer plus longtemps.
La stratégie la plus puissante n’est pas dans les tableaux Excel, mais dans l’art de cultiver son propre jardin intérieur.
Et si la stratégie la plus puissante était d’abord de cultiver son propre jardin intérieur ?





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